Léonard parcourait du regard les textes éparpillés sur la table courbe de la tour. L’air était saturé de poussière, et le vent qui sifflait par les interstices des vieilles pendentifs accentuait le sentiment d’être plongé hors du futur. Les descriptions charmants dessinés par l’astronome semblaient être tracés avec une précision https://spencerfotwz.getblogs.net/66327971/les-cartes-bons-et-les-présages-oubliées