L’air était plus frais à l’intérieur du passage souterrain, une rupture soudaine avec la température accablante du désert. Élise avançait mollement, ses pas résonnant avoisinant la diamant passée du sanctuaire qu’elle venait d'apprécier. La vie filtrée par l’entrée dévoilait des murs recouverts de fresques, des couleurs faits dans la gemme, https://emiliopbzoz.pointblog.net/le-dernier-signal-des-sables-77342741