La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, seulement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau morne où la terre semblait prouver. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une allégorie. Une cadence inconnue https://coletteh271pbm9.blogs100.com/profile