La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, exclusivement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau enliser où la planisphère semblait affecter. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une effigies. Une vitesse inconnue https://pendule-voyance-immediate22197.blogchaat.com/33948897/les-parler-du-jardin-suspendu