La gare était plongée dans une brume dense, un étoffe épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de le pont indiquait minuit, l’heure exacte du début du train. Le passager se tenait stable, choisissant de faire l’immense appareil d’acier tragique qui sifflait mollement, https://travisodmtz.fireblogz.com/65184796/le-train-sans-retour