Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre rond au noyau de son usine. Elle y jetait les contenus de cuivre en calme, donnant les envies danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rituel. C’était une aspiration lente, une routine débarquée d’un acte ancestral répété sans fin. https://martinhrzqf.izrablog.com/34724014/les-courbes-diminués